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Et si on contrôlait quelques robots avec le masque Oculus Rift ?
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Ces robots qui ramassent les poubelles automatiquement

Une ville connectée pour rendre possible la collecte par les robots
La ville du futur, celle qui est prête à intégrer les prochaines technologies dans ses rues, n'est sûrement pas celle que vous croyez. Oubliez Hong-Kong, Dubaï ou encore Singapour. Peccioli ne vous dit rien ? Cela n'est pas étonnant. C'est un petit village médiéval situé en plein coeur de la Toscane, en Italie. Cette cité vieille de plus de 600 ans, est devenue depuis 1995 un laboratoire à ciel ouvert pour tout ce qui touche aux technologies connectées en milieu urbain : téléprésence, énergies alternatives et bien sûr, collecte des déchets. En collaboration avec l'Ecole Supérieure Sant'Anna de Pise, la ville a mis en place depuis 2010 des robots mobiles pour collecter les déchets. Les rues étant étroites, les camions bennes ne peuvent pas circuler dans la ville. Les scientifiques italiens ont donc mis au point les Dustbots, des robots montés sur roues capable de se repérer dans les rues et d'aller ramasser les sacs poubelles devant chaque habitation.

La chaîne du déchet automatisée à 100%
Toute la chaîne du tri est désormais automatisable. Il existe en effet une entreprise finladaise qui commercialise des machines pour centres de tri. ZenRobotics Ltd a mis au point ZenRobotics Recycler, véritable système de tri des déchets capable de séparer les matières premières des autres déchets. Le robot se compose d'un tapis roulant classique comme il en existe déjà dans les centres de tri actuels à un détail près : celui du finlandais est équipé de bras robotisés et de capteurs qui effectuent le travail de sélection et de séparation entre tous les déchets. Veolia développe également ce type de systèmes comportant des technologies de tri optique couplées à des bras robots de préhension. Le géant français prévoit qu'en 2020 les centres de tri automatisés seront largement répandus.
Des robots poubelles pour la maison
Un concept intéressant et fun a été trouvé par un passionné de bidouille : une corbeille mobile qui calcule la trajectoire de votre projectile en papier et se positionne correctement afin de le récupérer. Plus besoin de chercher sa poubelle ou de viser juste, le robot s'occupe de tout. Le jeune homme a d'abord confectionné un chariot motorisé sur lequel il a placé une corbeille. Le chariot peut se déplacer très rapidement comme vous pouvez le voir sur la vidéo qui suit. Relié à un ordinateur et à une Kinect, le robot peut analyser les trajectoires des projectiles afin de calculer la vitesse et la position dont il aura besoin pour bien réceptionner l'objet jeté.↧
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Savioke : la startup lève 2 M$ pour son premier robot de services
Les hôpitaux, les centres spécialisés, les hôtels, les restaurants, les bureaux, tous présentent des possibilités pour les robots de prendre en charge certaines tâches dégoutantes, pénibles ou dangereuses, d'améliorer l'efficacité des processus, de réduire les coûts, et surtout de libérer les personnes pour aider les autres. Nous voyons le secteur des services comme la prochaine étape logique pour la robotique, en sortant les robots de leurs cages de protection dans les usines mais aussi des laboratoires de recherche pour apporter une valeur ajoutée autour des personnes, sur notre lieu de travail ou à la maison.Le site TechCrunch n'a pas réussi à avoir beaucoup plus d'informations sur le futur robot. On sait seulement qu'il utilisera le système d'exploitation open source ROS, développé par... Willow Garage. Les premiers essais clients débuteront plus tard dans l'année.
Google poursuit sa déferlante de rachats de startups
Le fait que Google Ventures croit et investisse dans Savioke laisse présager une technologie d'assistance aboutie. Ces derniers mois, Google a investi dans une dizaine de startups prometteuses (Boston Dynamics, Deepmind, Nest...). Google nourrit un projet de robotique visionnaire, qui va au-delà du simple robot assistant de l'homme. Ce nouvel accord renforce, s'il en était besoin, la confiance de Google et des potentiels investisseurs dans le secteur de la robotique. "Comme les limites entre la robotique industrielle et la robotique personnelle sont de plus en plus floues, Google Ventures est ravie de travailler avec un groupe de personnes aussi exceptionnelles que celui de Savioke", a souhaité souligner Andy Wheeler, un responsable chez Google Ventures. "Steve et son équipe ont déjà contribué grandement à l'avènement de la filière robotique. La prochaine étape promet d'être encore plus révolutionnaire".↧
Fly-n-Sense racheté par le groupe français VivaSanté
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Dassault : Le nEUROn vole en patrouille avec un Rafale et un Falcon 7X

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Des robots souris pour expliquer la théorie de l’évolution

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Les NAO iraniens remportent un tournoi de football RoboCup


Bien au-delà du football
Ce sont les programmes intégrés à la machine qui distinguent les meilleurs. Les robots "sont complètement autonomes, nous n'avons aucun contrôle sur le jeu et ils prennent leurs propres décisions", explique à l'AFP Novin Sharhoudi, 20 ans, étudiant en génie logiciel et génie informatique à l'Université Azad de Qasvin, au nord-ouest de Téhéran. Au-delà du fun et du sport, c'est bien la programmation des robots et les applications dans d'autres domaines qui sont au coeur de la philosophie de cette compétition. "Les robots développent de nombreuses capacités, qui peuvent servir dans d'autres domaines. S'ils détectent une balle, ils peuvent retrouver une cible spécifique lors d'une opération de secours, et s'ils peuvent marcher, ils peuvent explorer un environnement dangereux ou contaminé", dit Patrick de Kok, 26 ans, membre de la Nao Dutch Team et étudiant en Master Intelligence artificielle à l'Université d'Amsterdam. Rendez-vous du 21 au 24 juillet 2014 pour la compétition Robocup qui aura lieu... au Brésil ! Celle de l'année dernière avait eu lieu aux Pays-Bas.





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Asimo : une nouvelle version présentée aux Etats-Unis

Une longue lignée de robots Asimo
Asimo est l’acronyme de Advanced Step in Innovative MObility, prononcé « ashimo » en japonais. Honda a commencé à fabriquer des prototypes à partir de 1986. A cette époque, la série de prototype ne s'appelle pas encore Asimo mais "E0", "E1", ... jusqu'à "E6". Le robot n'a pas encore de bras ni véritablement de corps ; il ressemble plutôt à un cube monté sur deux espèces de jambes mécaniques dont chaque pas prenait environ 15 secondes. Il s'agissait d'une plateforme pour la recherche avant tout, qui devait permettre aux laboratoires de robotique de travailler sur la reproduction de la marche humaine. Avec le temps, Honda a amélioré sa plateforme et en plus de se focaliser sur la mécatronique du robot, une brique important a été ajoutée en 2000 : l'intelligence artificielle. A partir des années 2000, le premier robot humanoïde Asimo prend forme. Le robot ne pèse plus 150 kg comme dans sa version "E6" sortie en 1993, mais 52 kilos, grâce à un corps constitué d'un alliage de magnésium recouvert par une résine en plastique. Il embarque dans son dos, tel un sac à dos, l'ordinateur lui permettant de calculer ses mouvements et de répondre aux événements extérieurs. 2004, deuxième version d'Asimo avec une IA améliorée et la capacité de se déplacer à 3 km/h. Vient la troisième génération un an plus tard, en 2005, avec de nouvelles capacité d'interaction avec le monde extérieur et la possiblité de courir à 6 km/h. La quatrième version sort en 2007 et en 2011, la cinquième et dernière version que l'on connaissait jusqu'à aujourd'hui : 130 cm de hauteur pour 48 kilos et une vitesse de pointe égale à 9 km/h. Les degrés de liberté, ou la capacité à effectuer des mouvements avec ses membres dans l'espace, ont également évolué au fil du temps. Ils sont passés de 6 pour le prototype E0 (soit trois degrés par jambe) à 57 degrés pour l'Asimo de 5ème génération.Place à la 6ème génération
Mardi 15 avril 2014, Asimo 6 a donc été présenté aux téléspectateurs américains. Les ingénieurs du groupe japonais reviennent sur le devant de la scène avec un robot ayant une apparence toujours plus humaine et des gestes encore plus fluides qu'avant.
Futur robot d'assistance
L'essentiel du système informatique est camouflé dans une sorte de sac à dos à l'arrière du robot. D'après Honda, l'apparence d'Asimo est censée faciliter son acceptation par le public. Sa petite taille ne le rend pas inquiétant et le met à la hauteur d'une personne coincée dans un lit ou un fauteuil roulant.

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Course de dromadaires : des robots jockeys à la rescousse des enfants


Des robots pour sauver les enfants
Sous la pression internationale et pour sortir les enfants de cette exploitation intolérable, le Comité organisateur des courses dans le Golfe prit la décision en 2004 de remplacer les enfants jockeys par des robots. Le centre qatari RAQBI fut désigné comme maître d'ouvrage. Après un prototype infructueux développé par le Qatar Scientific Club, les qataris ont fait appel à la société suisse K-Team pour la fabrication de petit robots en matériaux composites. Les jockeys robotisés sont placés sur le dos du dromadaire et sont commandés à distance par les entraîneurs. Equipés de capteurs qui les aident à absorber le mouvement et la vitesse du chameau, de haut-parleurs pour diffuser la voix et les cris des entraîneurs et d'actionneurs pour donner des coups de cravache, ces robots ne pèsent plus que 15 kilos et coûtent environ 200 €.






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Deux américains sur trois confiants sur les nouvelles technologies
Des craintes vis à vis des robots, des drones et des objets connectés
Les plus optimistes d’entre eux ont toutefois des doutes sur l’utilisation des drones civils, sur le fait de porter sur eux des appareils connectés ou encore, de faire confiance aux robots assistants pour les personnes âgées. Parmi les quatre technologies les plus contestées, les Google Glass remportent l’opinion la moins défavorable d’entre tous les appareils : 37% de la population pensent que les objets connectés à porter sur soi vont améliorer leur quotidien. En revanche, les parents américains ne sont pas du tout attirés par le fait de pouvoir faire modifier l’ADN de leur futur enfant (seulement 26% y sont favorables).
Et les voitures autonomes ? et les prothèses bioniques ?
Le sondage a voulu recueillir leur opinion sur les technologies prochainement au point telles que les voitures autonomes, les implants électroniques, et la viande artificielle. 48% des américains seraient d’accord pour tester une voiture sans conducteur, 26% prêts à se faire des implants bioniques dans le cerveau, et 20% à vouloir goûter de la viande synthétisée en laboratoire.
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Retour sur l’Apérobo spécial ESIEA


- ESIGETEL
- SUPINFO Troyes
- ESIGELEC
- ESIEE

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Elo, le petit ours en peluche connecté qui redonne le sourire aux enfants







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Pneupard, le quadrupède aux muscles artificiels fait sa première apparition

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L’orchestre volant formé par les drones de Kmel Robotics





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Sony repart à la conquête des robots domestiques
Quel type de robot est décrit dans ce brevet ?
Le brevet décrit un robot ressemblant de la tête aux pieds au Qrio, à un détail près, ses jambes. En effet l'humanoïde ne posséderait plus de jambes mais se tiendrait debout sur des roulettes comme en témoignent ces croquis.
Quelle différence avec le QRIO ?
Le Sony Dream Robot aussi appelé SDR-3X ou encore QRIO dans sa version prototype finale, devait être un compagnon domestique capable de reconnaissance vocale et faciale, de synthèse vocale de localiser d'objets dans l'espace. Bien que son prix n'ait jamais été dévoilé, les estimations tournent aux alentours de 25 000 à 40 000 euros. Certes, le QRIO était un bijou de technologie avec ses 40 dégrés de liberté, ses 60 cm de haut, ses 7 kilos et ses dix petits doigts actionnés individuellement, mais ses performances limitées ne justifiaient pas une telle somme.
Un brevet qui soulève des questions ?
Le brevet décrit en effet un robot mais celui-ci n'en est pas le sujet principal. L'auteur s'est focalisé sur un logiciel d'auto-diagnostic pour les caméras du robot. Il peut faire la différence entre une rayure ou un peu de poussière sur la lentille d'une caméra, en comparant différentes images entre elles. En utilisant cette même méthode d'analyse, il peut également détecter des tâches sur la main du robot ou sur un objet quelconque dont il se saisit. La plupart des robots actuels munis d'une caméra sont capables de détecter et identifier des objets dans un environnement quelqconque à partir d'images prises par leur caméra. Mais l'efficacité de la détection et identification de ces objets repose sur la netteté de l'image. Par conséquent, quand il y a une saleté ou une rayure sur la lentille de l'appareil photo, ceci diminue de manière significative la capacité du robot à détecter et identifier l'objet. Le robot de Sony semble être capable de nettoyer cette saleté si besoin (voir le schéma où le robot se frotte la tête).


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Asimo échange quelques balles avec le Président Obama



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Une prothèse du genou qui pourra s’auto-diagnostiquer

On peut imaginer que tous ces inserts ont plus ou moins la même forme, donc le même volume. Si on arrive à instrumenter cette partie-là sans toucher la partie fémorale ou tibiale, ce sera plus simple pour l’industrie de l’implémenter. Mais cela ne se fera pas tout de suite car nous devons démontrer que ces capteurs représentent un réel bénéfice, tant pour le patient que pour son médecin ou l’industrie, explique Kamiar Aminian directeur du Laboratoire de mesure et d’analyse des mouvements au sein de l'EPFL.

Fonctions des capteurs SimOS
La partie intermédiaire de la prothèse, soit l’insert en polyéthylène, contiendra un réseau de capteurs qui sera capable de suivre en temps réel l'évolution de différents paramètres biomécaniques de la prothèse mais également des os, articulation et ligaments du patient. Un module d'implant comprend des capteurs qui mesureront les forces et contraintes exercées, la température liée aux frottements, la magnétorésistance pour mesurer l'orientation 3D de l'articulation du genou ainsi que des accéléromètres pour mesurer les micromouvements et les impacts. Le patient portera autour de la jambe sous la forme d'une genouillère, un module externe intégrerant le système sans fil d’alimentation et de communication avec l’implant, ainsi que d’autres capteurs inertiels d’analyse cinétique. L’ensemble des données est fusionné et transmis à un ordinateur.
Grâce aux informations de ces prothèses, nous pourrions faire de la prévention et explorer d’autres pistes de rééducation de la marche sans avoir besoin forcément de recourir à une nouvelle chirurgie », précise Brigitte Jolles-Haeberli, en charge de l’unité de chirurgie prothétique du genou du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) et du centre interinstitutionnel de biomécanique translationnelle de l’EPFL.Site de l'EPFL
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Deebot D68 : test du robot aspirateur

Caractéristiques principales du Deebot D68
Le Deebot D68 est un aspirateur à forme circulaire de 33,6 cm de diamètre pour 9,6 cm de haut et pèse 2,9 kilos. Il existe en une seule couleur (doré mat). Il se compose des éléments suivants :- Le Deebot D68
- Sa base de rechargement
- 1 brosse centrale
- 4 brosses latérales (dont 2 de rechange)
- 1 télécommande
- Le manuel utilisateur



Performances du Deebot D68
En un même cycle de nettoyage, le Deebot D68 peut aspirer une surface d'entre 40 m² à 70 m² en fonction du niveau d'obstruction dans les pièces. Pendant nos tests c'était plutôt 40 m² car de nombreux meubles et câbles se trouvaient sur le chemin du robot. Ce qui nous permet de dire que le Deebot D68 n'a peur de rien puisqu'il passe par dessus les câbles et a un système de détection d'obstacles breveté par Ecovacs : à l'approche d'un mur ou d'un meuble, le robot ralentit et vient cogner doucement avec son pare-choc pour mieux repartir dans une autre direction. Le choc est moins brutal et plus silencieux également.
- Mode "Auto": après analyse en temps-réel de son environnement, le Deebot choisit automatiquement un mode parmi les trois ci-dessous. A chaque obstacle rencontré, il change de direction. Dans ce mode de nettoyage aléatoire, le robot est capable de reconnaître la taille de la surface et d'adapter son mode de fonctionnement (zig-zag, en cercle, en long)
- Mode "Intensif" : même fonctionnement qu'en mode Auto, sauf que le robot évolue à une vitesse réduite pour insister sur des zones particulièrement sales
- Mode "Edge": il va longer les murs et obstacles, ce qui permet un nettoyage en profondeur le long des murs, dans les coins, etc.
- Mode "Spot": Le robot prend un point de référence et va démarrer un cycle de nettoyage en zigzag. A la fin de son cycle, il retourne se positionner au point de référence et émet un signal. L'utilisateur doit alors le déplacer à la main ou utiliser la télécommande.

Entretien du Deebot D68
Les rondes du robot sont programmables via l'écran LCD situé sur le dessus du robot. Vous pourrez par exemple fixer une heure dans la journée pendant laquelle vous souhaitez que le Deebot D68 commence à passer la pièce ou lui demander de répéter cette action tous les jours à la même heure. Ainsi, quand vous rentrez chez vous le soir, vous le trouverez dans sa station de recharge et vous n'aurez qu'à vider son bac à poussières. Le bac a une capacité de 400 ml. Nous avons dû le vider après la deuxième heure d'utilisation. Très pratique, une alerte sonore et visuelle vous informe que le bac à saletés est plein. Il se retire très facilement en soulevant une trappe sur le dessus de l'aspirateur et se vide manuellement. Il contient un filtre anti-bactérien contenant des nano-particules d'argent qui inhibent le développement des bactéries. D'ailleurs toutes les parties externes du robot, au contact avec la poussière, le sont également.

Notre avis sur le Deebot D68
Le Deebot D68 navigue de manière aléatoire, plus vous l'utiliserez fréquemment, plus la probabilité qu'il soit passé partout dans votre logement sera grande. Il faudra accepter qu'il passe deux fois aux mêmes endroits. Nous avons apprécié sa capacité à détecter des zones particulièrement sales et à basculer automatiquement en mode intensif. Pour ce qui est de l'aspiration, rien à dire : il aspire tout sur son passage (poussières, débris, graines, terre...) et n'en laisse pas une miette. Nous n'avons pas eu recours à la télécommande pendant les nettoyages mais sachez qu'il faut se placer bien en face du robot pour que le robot lui réponde.
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Une colonie de mini-robots capable de construire en équipe


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Un algorithme de reconnaissance faciale plus fort que l’homme
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